Camels are herded at El-Molih camel market west of the Sudanese capital's twin city of Omdurman on July 10, 2019. - In El-Molih, a vast swathe of desert about 100 kilometres (63 miles) from the Sudanese capital, dozens of camel traders remain untouched by the country's biggest political upheaval in decades. El-Molih is well known among tourists visiting the northeast African country, with its daily camel market a hit among visitors. Some camels are to sent to slaughter houses, while the priced ones in the Gulf countries to take part in races. (Photo by ASHRAF SHAZLY / AFP)
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L’Australie va tuer 10 000 dromadaires à cause de la sécheresse

 L’Australie va être obligée de tuer 10 000 dromadaires à cause de la sécheresse. Le quotidien explique que ces animaux sont désespérément en recherche d’eau et que leurs besoins naturels respectifs pourraient menacer les réserves d’eau de certains villages australiens. Résultat ? Le pays va donc tuer 10 000 dromadaires avec des snipers depuis des hélicoptères. 

En plus de menacer les réserves d’eau et de nourriture, ces animaux pourraient également être des dangers pour les automobilistes. Le pays n’a donc pas le choix de procéder à ces exécutions crève-coeur.

20 minutes explique que cette opération va être réalisée dans les territoires de l’Anangu Pitjantjatjara Yankunytjatjara et nécessitera 5 jours pour arriver à bout de ces 10 000 dromadaires.

Toujours selon les informations relayées par 20 minutes, les Australiens vont faire en sorte de tuer ces dromadaires loin des villages pour éviter les complications. Les corps seront ensuite brûlés. D’après les derniers chiffres sur le sujet datant de 2013, il y aurait 300 000 dromadaires en Australie.

Camels are herded at El-Molih camel market west of the Sudanese capital’s twin city of Omdurman on July 10, 2019. – In El-Molih, a vast swathe of desert about 100 kilometres (63 miles) from the Sudanese capital, dozens of camel traders remain untouched by the country’s biggest political upheaval in decades. El-Molih is well known among tourists visiting the northeast African country, with its daily camel market a hit among visitors. Some camels are to sent to slaughter houses, while the priced ones in the Gulf countries to take part in races. (Photo by ASHRAF SHAZLY / AFP)

Décidément, le pays vit une période extrêmement difficile en ce moment. En effet, alors que le nombre d’animaux décédés en raison des feux de forêt, le voilà obligé d’en tuer d’autre pour éviter la sécheresse. Comme dit l’adage: «Une mauvaise nouvelle n’arrive jamais seule».

Source: 20 minutes ·

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