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Une mère injecte de la drogue à sa fille pour la violer avec deux autres complices

Avant qu’elle ne rende l’âme, la souffrance vécue par Victoria Martens a été sans pareil en état torturée de la manière la plus vile qui soit, par sa propre famille. Ce qui aurait dû être une journée festive s’est transformé en un cauchemar d’autant plus insoutenable qu’il a été perpétré par celle qui l’a mise au monde. Voici les faits d’un crime difficile à décrire.

La petite américaine avait seulement 10 ans. À l’aube de son anniversaire, elle a été droguée, violée et assassinée par le petit ami de sa mère ainsi que sa cousine.

La mère de la victime, Michelle Martens a été arrêtée avec le reste des auteurs du crime, à savoir le petit ami, Fabian Gonzales et Jessica Kelley, la cousine.

Image : Independent

Après avoir reçu un appel téléphonique à propos de la résidence des Martens, la police locale s’est rendue dans les lieux et le constat a été horrible. Le cadavre de la jeune fille était disloqué. S’en est alors suivi l’examen du cadavre a permis de découvrir que Victoria avait été violée, étranglée et poignardée après qu’on lui ait injecté de la méthamphétamine.

Le déroulement de la scène a été divulgué par Michelle Martens qui a déclaré aux officiers de police que l’injection de la méthamphétamine a été exécutée par Gonzales afin de calmer la fille en grande détresse et ce, pour la violer juste après. Kelley de son côté s’occupait de faire taire les cris de la petite fille avant de la poignarder plus tard dans le ventre pendant que Gonzales l’étranglait.

Toute l’horreur de la scène se déroulait alors sous le regard indifférent d’une mère aussi indigne que monstrueuse.

Par ailleurs, les accusations ont afflué et se sont avérés être décidés à la mesure de l’atrocité des crimes commis. Ainsi, le trio a été inculpé de maltraitance à mort d’enfants, d’enlèvement et de falsification d’objets de preuve. Quant au cas individuels de Gonzales et de Kelley, ils sont accusés d’abus sexuels criminels sur un mineur.

Le meurtre a été qualifié par le chef de la police locale comme étant, « l’acte maléfique le plus horrible » qu’il ait jamais vu de toute sa carrière et que cela miroitait un « mépris total pour la vie humaine ».

Victoria Martens était selon son entourage une fille aussi aimée que sympathique comme le suggère Christine Zamora, son enseignante de gymnastique. « Elle était incroyablement sociale. C’est tellement tragique » déplore la gymnaste qui louait en même temps l’enthousiasme de la regrettée.

En son honneur, un sanctuaire a été préparé où l’on voit un ornement de ballons, d’animaux en peluche et de fleurs autour d’un arbre à proximité de son lieu de résidence.

Source: Independent

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